Un Carlos Alcaraz à deux visages ce mercredi au Rolex Monte-Carlo Masters. Après sa défaite d'entrée au Masters 1000 de Miami contre David Goffin, l'Espagnol devait réagir. Toutefois, en recherche de confiance, le n°3 mondial a eu besoin d'une manche avant de lancer la machine et d'écraser Francisco Cerundolo dans les deux dernières manches, 3-6, 6-0, 6-1. L'Argentin a bien débuté avant d'être impuissant contre un "Carlitos" tout de même rassurant. En huitièmes, il affrontera Daniel Altmaier.
Vidéo - Carlos Alcaraz qualifié en 8es à Monte-Carlo
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"Sur terre battue, on peut voir du vrai tennis"
A noter qu'il s'agit de sa première victoire sur le Rocher. Un soulagement ? "Probablement. Je ne vais pas dire que j'étais nerveux à cause de ça, mais oui, c'est l'un des rares tournois que je n'ai pas encore gagné ou le seul tournoi où je n'avais pas encore gagné un match, donc je suis vraiment content. J'ai enfin remporté ma première victoire ici et je reste dans le tournoi. C'est un très beau tournoi et je veux vraiment aller loin. C'est un soulagement d'avoir obtenu ma première victoire." Le retour sur terre battue fait beaucoup de bien à l'Espagnol. "C'est vrai, les longs échanges, ça salit un peu les chaussettes. C'est ce qui me manque, regarder du bon tennis. Sur terre battue, on peut voir du vrai tennis, parce que ce n'est pas seulement des gros services ou des points en un coup. Sur terre battue, on voit de longs échanges. Par exemple, hier, il y a eu un échange avec 48 coups (entre Berrettini et Zverev). C'est ce que j'aime, regarder le tennis et jouer ici sur terre battue."
