
Eugenie Bouchard, ancienne cinquième joueuse mondiale de tennis, a révélé les traces impressionnantes laissées par son traitement avec les ventouses sur son corps.
Depuis août dernier, Eugenie Bouchard (31 ans) a délaissé les courts de tennis pour ceux de pickleball. Et la Canadienne, ancienne cinquième joueuse mondiale désormais 997e au classement WTA, s’entretient pour briller dans cette discipline hybride entre tennis, padel, tennis de table et badminton disputé sur un petit terrain. Lundi, elle a affolé ses deux millions de suiveurs sur Instagram (2,3 millions précisément) en publiant des clichés de marques impressionnantes sur sa peau.
"Les ventouses ne sont pas une blague"
Ces traces rondes et très rouges sont le résultat de l’application de ventouses. "Les ventouses ne sont pas une blague", a-t-elle reconnu en légende. Ce traitement est une thérapie de guérison ancienne qui consiste à placer des ventouses chauffées sur la peau pour soulager la douleur et l'inflammation et augmenter le flux sanguin. Il est plébiscité par de très nombreux sportifs comme Karim Benzema, ancien attaquant de l’équipe de France et du Real Madrid, l’ancien nageur Michael Phelps ou l’ancienne star de l'UFC Conor McGregor.

Eugenie Bouchard s’est fait connaître dans le monde du tennis en atteignant la finale de Wimbledon en 2014, faisant d’elle la première Canadienne finaliste d’un Grand Chelem. Elle figurait aussi parmi les athlètes féminines les mieux payées du monde en 2017 et 2018 selon le classement du magazine Forbes.
En dehors des courts, la joueuse a aussi développé son goût pour la mode en posant notamment en première page du magazine Sports Illustrated en 2017. Elle est aussi devenue très présente sur les réseaux sociaux qui l’ont même conduite à de rôles de situations. En 2017, elle avait perdu un pari avec un fan en pariant sur la victoire d’Atlanta contre les New England Patriots lors du SuperBowl. La joueuse avait honoré son pari en accordant un rendez-vous avec un utilisateur sur X.
En 2024, elle avait évoqué ses activités annexes sur les réseaux sociaux où elle s'affiche régulièrement en petite tenue. "C'est bon pour le sport féminin", avait-elle confié au podcast Not Alone. "Le tennis est la seule chose que je connais, mais ça ne peut pas être la seule chose que je ferai dans ma vie. Pourquoi me limiter dans une case? Cela augmente ma base de fans, mon audience, ce qui, en retour, m'aide à obtenir de meilleures offres et sponsorings. D'accord, je peux gagner plus d'argent avec ça mais d'une manière générale, c'est bon pour le tennis en général, le tennis féminin et le sport féminin."