Lorenzo Sonego est une des belles surprises de cet Open d'Australie. L'Italien, qui a battu le vainqueur des Next Gen ATP Finals, Joao Fonseca, au deuxième tour, a fait chuter ce lundi le finaliste de ce même tournoi, Learner Tien, 6-3, 6-2, 3-6, 6-1. Avec 20 aces et 58 coups gagnants, Sonego a encore fait parler son punch et produit un tennis très agréable. Le voilà pour la première fois en quarts de Grand Chelem. Il l'avait jamais fait mieux que troisième tour en Australie. Le puncheur semble capable de tout et affrontera Ben Shelton mercredi. Le 55e mondial aura encore un coup à jouer. Notons qu'il est le sixième Italien en quarts de l'Open d'Australie.
Vidéo - Lorenzo Sonego en quarts de l'Open d'Australie
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Retrouvez le tableau dames de l'Open d'Australie ici
?? Giorgio de Stefani (1935)
?? Nicola Pietrangeli (1957)
?? Cristiano Caratti (1991)
?? Matteo Berrettini (2022)
?? Jannik Sinner
? Lorenzo SonegoHe becomes the 6th Italian man in history to reach the quarterfinals at the AO! ?#AO2025 pic.twitter.com/BIasPutrQi
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"J'apprends de mes erreurs, des expériences que je vis et j'essaie de changer"
"Je pense que j'ai changé certaines choses dans mon tennis cette pré-saison qui m'ont permis de faire un bond qualitatif, au niveau de mon revers, de mon retour et de mon service, et je dois remercier mon équipe pour cela. Mais le plus important, c'est que ma mentalité s'est renforcée", a-t-il expliqué en conférence de presse.
A chart-topping performance from Lorenzo Sonego!
The 29-year-old Italian qualifies for a maiden Grand Slam quarterfinal, defeating a gallant Learner Tien in four sets.@wwos • @espn • @eurosport • @wowowtennis • #AusOpen • #AO2025 pic.twitter.com/J5UpE3O95D
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"Chacun a son époque et sa propre histoire, j'ai la mienne. J'apprends de mes erreurs, des expériences que je vis et j'essaie de changer. Je dois dire que ma chance a été de rencontrer des gens qui m'ont aidé à y arriver, comme ma nouvelle équipe, ma copine, ma famille. Toutes ces personnes m’ont fait réaliser que je devais sortir de ma zone de confort. Il y a alors évidemment un abîme entre le dire et le faire. Au début, j’ai eu du mal parce qu’il y avait tellement de changements et cela m’a fait un peu remettre en question quelque chose. Au final, avec le travail je me suis habitué et tout semble un peu plus facile."
