Pauvre Emma Raducanu... Ce samedi, la jeune Britannique a été pulvérisée par le rouleau compresseur Iga Swiatek, au troisième tour de l'Open d'Australie. Impuissante, la native de Toronto a été écrasée 6-1, 6-0. Raducanu a remporté le deuxième jeu du match avant d'encaisser les onze suivants. Imaginez le calvaire. La 61e mondiale savait à quoi s'attendre et n'a pas semblé abattue en conférence de presse. "Pas d'excuses du dos ou physiquement", a-t-elle précisé. La route est donc encore longue, mais, au moins, la jeune femme joue librement. 

Vidéo - Emma Raducanu écrasée au 3e tour de l'Open d'Australie

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"Le score est évidemment très sévère..."

"Je pense que c'était un match où je savais que je devais bien jouer", a déclaré Raducanu, qui n'a toujours pas gagné un set en cinq matches contre Swiatek. "Je pense qu'aujourd'hui, Iga a joué un bon tennis, mais je pense qu'elle a bien joué et que je n'ai pas bien joué. Cette combinaison n'est probablement pas bonne et c'est ce qui s'est passé aujourd'hui. Le score est évidemment très sévère. J'ai l'impression qu'avec le recul, je sais exactement ce que je dois faire, et je le prends comme un retour d'expérience."

We are all spelling speed incorrectly; it should be spelt ??????? 

Iga advances into the fourth round, defeating Raducanu 6-1 6-0. @wwos • @espn • @eurosport • @wowowtennis • @iga_swiatek • #AusOpen • #AO2025 pic.twitter.com/KAEj62CGrE

— #AusOpen (@AustralianOpen) January 18, 2025

"Il n'y a pas d'excuses au niveau du dos ou physiquement"

"Il y a trois semaines, lorsque j'étais à Auckland, je faisais de la rééducation en piscine. Je pense que le fait d'être sur un court de tennis en train de jouer des matches et d'être en compétition est quelque chose dont je dois être reconnaissante. J'ai commencé à frapper quand je suis arrivée ici il y a 18 jours. J'ai commencé à frapper quand je suis arrivée ici il y a 18 jours. Je dois tirer un point positif du fait que j'ai été capable de battre deux adversaires de haut niveau dans les deux premiers tours. Mais je pense qu'aujourd'hui, il n'y a pas d'excuses au niveau du dos ou physiquement."