L’ancien joueur américain remet l’église au centre du village concernant l’affaire Swiatek. Contrairement à des anciens collègues de travail comme Kafelnikov, Andy prend la défense de la joueuse polonaise. Ces propos un peu crus ont l’avantage de poser le vrai débat, celui des doses infimes détectés par les tests réalisés par l’Agence Mondiale d’Antidopage.
« Je ne peux pas appeler ça du dopage. C’est juste prendre de la mélatonine pour le décalage horaire à 2h30 du matin à Cincy. C’est tout simplement malheureux pour elle, évidemment. Un test négatif à Paris aux Jeux olympiques, des tests négatifs à New York. Ce n’est donc pas un problème récurrent. C’est tout simplement nul parce que les gros titres diront que les gens, les personnes les plus stupides de notre sport, « Ah, le dopage ! » J’ai déjà pris de la mélatonine. Qui peut dire que les nôtres n’étaient pas contaminées et allons‐nous continuer à nous en tenir à nous baser sur des tests qui détectent des doses d’un milliardième de gramme de quelque chose ou de la mélatonine contaminée qui n’a eu aucun effet positif sur les performances »
Publié le jeudi 5 décembre 2024 à 08:50