Selon Lewis Hamilton, Stefano Domenicali, patron de la F1, lui a promis d'organiser une course du championnat du monde en Afrique.
La Formule 1 en Afrique, ce sera peut-être pour bientôt. Avant le Grand Prix du Qatar sur le circuit international de Losail (29 novembre-1er décembre), Lewis Hamilton a affirmé que le PDG de la discipline lui a fait la promesse d'organiser une manche du championnat du monde sur le seul continent qui n'est actuellement pas visité par le paddock.
"Il me l’a promis", a affirmé Lewis Hamilton en parlant de Stefano Domenicali. "Je lui ai tellement parlé de l’organisation d’une course en Afrique et c’est vraiment lui qui m’a promis qu’il s’assurerait que cela se fasse avant que je parte, donc c’est important", a ajouté le pilote brtannique de Mercedes, dans des propos rapportés par NextGen-Auto.
"Il faut être conscient du travail sur la diversité que nous avons accompli également, donc j’espère vraiment que Stefano ne démissionnera pas", a ajouté Lewis Hamilton, alors que des rumeurs font état d'un possible départ du grand patron de la F1 au terme de l'année. "Il a été fantastique", insiste le septuple champion du monde.
Le Rwanda en pole position
Aux dernières nouvelles, la piste d'un retour de la F1 en Afrique mène au Rwanda. Après l'annonce début août d'un "bon projet sur un circuit permanent", les organisateurs de la discipline ont fait savoir cet été que des négociations étaient en cours avec le pays de la région des Grands lacs.
Depuis le GP d'Afrique du Sud de 1993, aucune course n'a été disputée sur le continent africain. Le Maroc a été le premier pays africain à accueillir un Grand Prix en F1 en 1958 à Ain-Diab, près de Casablanca, une expérience que le royaume du Maghreb n'a jamais renouvelée. L'Afrique du Sud, en revanche, a organisé pas moins de 23 GP de Formule 1, les trois premiers entre 1962 et 1965 à East London, sur la côte est, et les 20 suivants entre 1967 et 1993 sur le circuit de Kyalami, près de Johannesburg.