Provisoirement suspendue en septembre, Iga Swiatek avait interjeté appel avec succès. Mais ce jeudi, l'Agence internationale pour l'intégrité du tennis (ITIA) a confirmé que la n°2 mondiale polonaise a accepté une suspension d'un mois, après avoir été testée positive à la trimétazidine.
Une suspension pour clôturer ce chapitre. Contrôlée positive à la trimétadizine (TMZ) en août dernier, après avoir remporté sa médaille de bronze aux Jeux olympiques de Paris, Iga Swiatek (23 ans) a finalement accepté sa suspension. Prônant d'abord une prise non intentionnelle et un médicament contaminé, la Polonaise (23 ans) les consommait en raison de problèmes de décalage horaire et de sommeil.
Après avoir interjeté appel, la n°2 mondiale et quadruple lauréate de Roland-Garros a finalement accepté sa sentence. Estimant que le niveau de faute se situait "à l'extrémité inférieure de la fourchette correspondant à l'absence de faute ou de négligence significative", l'Agence internationale pour l'intégrité du tennis (ITIA) a alors suspendu l'ancienne n°1 mondiale un mois. "L'ITIA confirme que la joueuse de tennis polonaise Iga Swiatek a accepté une suspension d'un mois (...), après un contrôle positif à une substance interdite, la trimetazidine, dans un échantillon prélevé hors compétition en août 2024", écrit dans un communiqué l'instance.
Une suspension presque déjà purgée
"La joueuse a été provisoirement suspendue du 12 septembre au 4 octobre, manquant trois tournois, ce qui compte pour la sanction", annonce l'ITIA. Une bonne nouvelle pour la détentrice de cinq tournois de Grand Chelem, à qui il ne manque plus que huit jours de suspension. Ce qui signifie que l'ancienne n°1 mondiale pourra participer à l'Open d'Australie (12 janvier - 26 janvier).